mercredi 16 mai 2012


Qu’est-ce le progrès?
Le cours tire déjà à sa fin, me voilà retournée à la toute première question du cours : Qu’est-ce que le progrès? Si je trouvais cette question difficile au tout début, je ne suis pas convaincue de la trouver plus facile aujourd’hui…

Pour faire une histoire courte, au tout début je disais surtout que le progrès était à la fois positif et négatif. Maintenant j’aurai tendance à dire que je penche plus du côté négatif. Le progrès c’est comme toute chose, il ne faut pas en abuser cependant, dans un monde où nous avons soif de consommation, il faut dire qu’ils sont rares, ceux et celles qui l’utilise en modération. Non, ce n’est pas mauvais en soi : ça facilite certains côtés, mais n’en complique d'autres… De plus, le progrès peut se manifester sous différentes formes, ça ne se limite pas simplement qu’au niveau technologique, mais aussi au niveau personnel, communautaire, économique, etc. C’est définitivement quelque chose que j’ai appris parce que lorsque je me suis fait poser cette question la première fois, je n’avais que la technologie en tête.

Je crois encore qu’il est bien de progresser, mais il faut savoir où s’arrêter. Finalement, c’est certain que je vais travailler sur mon progrès personnel. Il faut tout d’abord commencer avec nous-mêmes et ne pas sous-estimer les petits gestes…

Les six conférenciers

 Il a été intéressant de voir six différentes approches pour aborder la question du progrès, il faut dire que nous avons été choyés! Malgré les différents «backgrounds» de ces six personnes, il y a quand même eu des points en communs qui sont ressortis. Le plus important c’est qu’ils s’entendent pour dire qu’il y a quand même une lueur d’espoir (bien qu’ils ne soient pas tous des optimistes)! Cela dit, c’est dès maintenant qu’il faut agir parce que les conséquences pourraient définitivement mettre notre avenir en jeu! Un autre point qui est ressorti souvent concerne le système d’éducation qui doit changer. Ce dernier ne nous permet pas de nous exprimer comme bon nous semble et, du coup, ne fonçons pas assez dans la vie par peur de dire se que l’on pense vraiment.

Il faut agir. Ne pas avoir peur d’aller de l’avant. Au pire, on se relève et on aura la conscience tranquille d’avoir tenté de faire quelque chose.    
Je voulais tout simplement partager cette photo avec vous parce que selon moi, ça représente assez bien la direction que nous sommes en train de prendre. En espérant que l’ordinateur finira par être remplacé par autre chose…
Chapitre 4 du livre de Wright

… Plus que j’avance dans ma lecture plus que l’histoire se répète avec différentes civilisations, mais le problème est sensiblement toujours le même. Je ne m’inquiète pas pour la nature en tant que telle : elle va se régénérer, PAS nous autres. On peut dire qu’elle a été patiente et généreuse avec nous alors, il serait maintenant temps de travailler en harmonie avec elle avant que tout ne s’effondre. Je n’ai pas grand-chose de plus à ajouter mis à part le fait que ça me fait un peu peur de constater qu’on reproduit sans cesse les mêmes erreurs puis que ça ne date pas d’hier…
Chapitre 3 du livre de Wright

Sans nous autres, la nature serait si bien!

Après avoir fait la lecture du troisième chapitre, j’ai remarqué que la même histoire revient à chaque fois : nous nous autodétruisons. Se que je trouve triste c’est que nous avons la conscience tout comme les Pascuans qui ont toute de même abattu le dernier arbre en sachant bien qu’il n’en aurait pas d’autre après… Mais on continu quand même! Je trouve tout cela bien désolant…

P.S : Pas besoin d’être une voyante pour voir clair il me semble!
Réaction suite à la rencontre avec Serge Bouchard

On n’est comme dans une grosse « game ».

Premièrement, j’ai adoré sa façon particulière de s’exprimer! Il faut dire qu’il n’a pas peur de dire les vraies affaires (en y donnant une petite tournure humoristique). Mais bon, j’ai vraiment retenu deux petites choses parmi tant d’autres, tout d’abord c’est le fait qu’on est comme dans une grosse « game ». On prend la vie à la légère, comme si les erreurs n’étaient pas graves, que nous avons juste à faire « replay » puis de recommencer! Ça ne va pas me surprendre le jour où ont va tous se réveiller puis qu’on va être « game over » sans pouvoir pour autant faire marche arrière, parce que la vraie vie : c’est pas de même sa marche (en espérant que ça bouge avant qu’on se rendre la!).

Un jour on aura pu de jambes! 

Voici un autre aspect qui a capté mon attention, on a tous bien ri lorsque M. Bouchard a dit ça. Si on pense un peu plus loin que cette phrase loufoque, je me demande bien à quoi on va avoir l’air plus tard!? Non, mais c’est vrai (je n’irai pas jusqu’à dire qu’on aura pu de jambes), mais on peut quand même observer toute une métamorphose des hommes de Cro-Magnon jusqu’à aujourd’hui. Notre corps finit par se transformer pour l’accommoder à nos besoins. Si nous n'avons plus besoins de rien justement parce qu’on fonctionne tout automatiquement (je ne sais pas pour vous autres la, mais ce n’est pas super beau dans ma tête). Si quelqu’un disait que l’être humain ce n’est pas beau tout nue…attention t’alleur!

mardi 15 mai 2012

Chapitre 2 du livre de Wright

Les pièges du progrès

Le premier piège du progrès : Le perfectionnement de la chasse, l’agriculture arrivent pour ensuite faire place à la civilisation mondiale.
Non, mais c’est quand qu’on va apprendre de nos erreurs et d’enfin se contenter des besoins essentiels pour notre survie?! On répète sans cesse les mêmes gestes sans pourtant soupçonner qu’une « erreur » semblable a déjà été commise et voilà qu’on tombe à notre tour dans les pièges du progrès. Comme mentionnés dans le précédent chapitre, ceux qui ont appris à tuer deux mammouths au lieu d’un seul ont fait du progrès, mais ceux qui ont appris à en tuer 200 en les faisant culbuter en bas d’une falaise en avaient fait beaucoup trop. Je trouve cette phrase très révélatrice et je n’ai pas de la difficulté à continuer de l’appliquer dans nos sociétés modernes… C’est toujours une fois qu’on l’a fait qu’on s’en rend compte et que l’on réalise que ça la peut être été trop loin… (une fois de plus).
P.S : On croit parfois qu’on se comporte mieux qu’autrefois. Cependant, en lisant ce deuxième chapitre je m’aperçois qu’il a plus de ressemblances que je ne l’aurai pensé.