lundi 7 mai 2012

Lundi 7 mai 2012

Réflexion suite à l’exposer de Mme Hélène Tremblay.
… On vit comme si on n’allait jamais mourir. C’est peut-être l’une des raisons pour laquelle on oublie d’apprécier tous les petits plaisirs que la vie nous offre. De nos jours, il me semble aussi qu’on a de la difficulté à distinguer les besoins des désirs. Vivre de l’essentiel nous serait pourtant tous suffisant.  Passant du collectif à l’individualisme, nous sommes beaucoup plus renfermés sur nous-mêmes qu’autrefois.

Qui sommes-nous pour juger de la pauvreté ou de la richesse de quelqu’un d’autre?... Il est temps de changer notre façon de percevoir les autres et de finalement s’attarder à la culture, à la personnalité ou aux caractéristiques qui nous définissent en tant qu’individu. Je ne suis pas seulement Mélissa Tremblay, étudiante de deuxième année à l’Université de Hearst… Je suis d’abord et avant tout une jeune femme qui aime la vie, qui profite de tous les beaux petits moments et qui aime passer du temps de qualité avec ma famille, mes ami-e-s et mon amoureux.

Bref, PLUSIEURS autres idées sont ressorties de l’excellente présentation de Mme Tremblay… Un défi a aussi été lancé : Si l’on vient au monde en pleurant, on devrait tenter de mourir en souriant.

P.S : Si on n’est l’auteur de notre propre malheur, nous sommes du coup l’auteur de notre propre bonheur…

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